Un ouvrage pour revivre le célèbre triplé européen de Toulon !

Un ouvrage pour revivre le célèbre triplé européen de Toulon !

Le jeudi 12 juin 2025 à 9:45 par David Demri

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De 2013 à 2015, Toulon a régné sur l’Europe du rugby. Dans son ouvrage passionnant, le journaliste Guilhem Herbert retrace cette aventure emblématique du Rugby Club Toulonnais (RCT) grâce à des interviews inédites, des anecdotes et une forte dose d’émotion.

Trois étoiles, gravées à jamais dans le cœur des supporters varois. Les années 2013, 2014 et 2015 ont marqué l’histoire du rugby européen avec la victoire consécutive du RCT à trois Coupes d’Europe.

Ce parcours glorieux est désormais mis en lumière dans un livre de 160 pages, écrit par Guilhem Herbert, passionné de rugby, en collaboration avec le club. L’ouvrage, mêlant témoignages exclusifs et récits immersifs, se divise en quatre chapitres : un pour chacun des trois titres et un dernier consacré à l’héritage de cette dynastie, une décennie plus tard.

Étonnamment, le nom de Mourad Boudjellal, président emblématique durant cette période, est largement absent des pages, précise Var-Matin. Toutefois, l’objectif principal demeure : faire revivre aux lecteurs un moment d’exception du sport français.

**L’auteur confie au quotidien local combien ce projet a marqué sa carrière. Extrait :**

*« C’est sans aucun doute l’un des plus gros projets professionnels de ma vie. J’en suis immensément fier. Ce que j’aime avec les livres, c’est qu’il y a ce rapport physique : c’est un objet dont les supporters vont s’emparer, et qui traverse les époques. Ça laisse une trace », témoigne Guilhem Herbert. « Maintenant, j’espère que j’aurai des retours de supporters qui me diront : “Merci, tu m’as fait revivre ce moment-là”, ce serait génial. »*

Originaire des Landes, le journaliste valorise son regard extérieur, qu’il perçoit comme un avantage pour ce projet.

**Il explique pourquoi son absence d’affiliation au RCT a enrichi le livre. Extrait :**

*« Je ne suis d’ailleurs pas supporter du RCT, et je pense justement que c’est une force, parce que j’ai pu me détacher de l’aspect émotionnel. En tant que journaliste, interviewer Jonny Wilkinson, parler à cet homme… C’est incroyable. Le premier argument du projet, pour moi, c’était celui-là. »*

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